[Désolée du retard, mais j'allais pas trop bien...]
Vous savez ce que c'est d'être en vacances? C'est le pied! Mais ca tout le monde le sait. Et vous savez ce que ça fait d'être en vacances, et pourtant d'être nostalgique? Non vous ne savez pas...Eh bien, laissez moi vous expliquer. Riley, oui le Riley Jones, que tout le monde a vu débarquer, de Vegas, dans le Nevada, pour aller, à Dubaï. Le motif est le suivant si l'on en croit les ragots: il se serait pris une grosse veste, alors qu'il avait tout plaqué pour sa meilleure amie. Celle-ci, s'est enfuit, et ne lui a même pas dit un mot, lorsqu'il lui a tout déballé. Vous pensez qu'elle est cruelle? Moi je dirais que non, elle ne savait tout simplement pas où donner de la tête, ca peut arriver.
"Boys will be boys baby!"
Riley chantonnait...Revassant tout ce qu'il savait, et flânant dans le vieux Dubaï, qu'il trouvait assez intriguant, mais à la fois tellement apaisant...Plus encore que de dorer au soleil...Oui Riley n'était pas un adepte du bronzage, voila pourquoi sa peau était pale, mais il n'était pas du tout cadavérique, bien au contraire.
"Boys will be boys...Boys will be boys baby...Boys will be boys..."
Il répétait les paroles de la chanson, main dans les poche, le coeur lourd, la tête légèrement dissimulée, par un sweat-shirt rouge, qui lui allait parfaitement, et vêtu d'un slim noir, qui tombait sur ses converses, dont la languette sortait. Il marchait, il faisait encore jour à cette heure. Il regardait en l'air, parfois droit devant lui...Il ne savait quoi faire, l'ennui, est une chose qui le tiraillait. Cela lui faisait nettement penser à ces derniers mois, a tout ce qui c'était passé, et tout ce qu'il regrettait.
"Give me envy, give me malice, give me a-attention!"
La voix du garçon résonnait dans ce vieux Dubaï, où il était bien seul, et où sa mélancolie, ne faisait que s'accroitre...La solitude était une bien mauvaise chose pour lui, qui ne la supportait pas. Mais voilà, il ne connaissait quasiment personne ici, rien ne pouvait donc lui faire passer ses heures de solitude. Ai-je dit, qu'il était seul? A croire que non...Une jeune femme arrivait au loin, alors qu'il était un peu plus haut dans la montée, redescendant, alors qu'elle montait. Il était obligatoire qu'ils se croisent.Chantonnant toujours, s'amusant à danser même quelques fois, il se foutait qu'on l'entende, de toute manière, il chantait parfaitement juste...
"Give me envy, give me malice, baby give me a break!"